Après une grosse mise à jour contenant l'Opération Bravo, Valve nous a offert une petite mise à jour cette nuit qui change le gameplay du jeu.

Dans le changelog nous pouvons voir la ligne suivante : « Player acceleration is now determined by the player's active weapon max speed » qui se traduit par : « l'accélération du joueur est maintenant déterminée par la vitesse maximale de l'arme active du joueur ».

Il semblerait que Valve ait encore une fois écouté la communauté du jeu qui semblerait ne pas avoir trop apprécié les nouveaux mouvements mis en place sur CS:GO, ce qui est chose faite avec cette petite mise à jour. L'accélération dépend désormais de la vitesse maximale de l'arme.

Alors petites explications sur ce qu'implique ce changement : contrairement aux anciens Counter-Strike 1.6 et Source, sur CS:GO peu importe l'arme que vous aviez en main, vous accélériez toujours de la même façon. Autrement dit tant que vous n'étiez pas à votre vitesse maximale, les déplacements restait toujours les mêmes pour tous. Avec cette mise à jour, ce n'est maintenant plus le cas.

Il sera donc plus facile de jouer avec l'AWP ou encore de tenir une ligne, la précision se verra améliorée puisque celle-ci dépend de la vitesse de déplacement du joueur.

Et pour finir, ce patch corrige un problème de mémoire qui pouvait impacter les FPS (Image par seconde) sur de longues sessions de jeu et corrige beaucoup de bugs sur les nouvelles maps de l'Opération Bravo. Un nouveau skin fait son apparition dans la collection Assault (voir plus bas). Aussi, quand un joueur se suicide, il gagne désormais 0$ pour le prochain round.

C'est dans un rapport publié le 18 septembre que nous apprenons que le Sénat s'intéresse désormais aux jeux vidéo dématérialisés. En effet, il propose la création d'une plateforme de distribution de jeux vidéo, tout comme Steam, qui valoriserait les productions françaises.

La dématérialisation est au cœur de l'actualité informatique. Aujourd'hui, de nombreux éléments de la vie quotidienne n'ont plus de support physique : factures, relevés bancaires, musiques, films... La liste est longue. Le Sénat a donc étudié le nouveau visage du jeu vidéo, lui aussi concerné par la dématérialisation.

Le but premier de cette plateforme serait de soutenir les petites et grosses productions françaises, en mettant en avant le savoir faire « Made in France » et en les rendant accessibles à tous, dans de nombreuses langues. Cependant, les éditeurs de plus grande taille comme Activision ou Electronics Arts ne seraient pas exclus du projet, précise le rapport. Le second objectif de cette plateforme serait également de limiter les coûts de distribution à 5 à 10% du prix de vente, contre les 30% pratiqués par de nombreux acteurs du marché.

Enfin, le dernier point abordé par le Sénat serait également la mise en place d'une éco-taxe sur les jeux vendus en boite. Taxe qui aurait que peu d'impact sur le prix payé par le consommateur car il s'agirait là de quelques centimes en plus sur le prix final, mais qui permettrait de dégager plusieurs millions d'euros à l'État. L'argent amassé servirait donc à financer les créations françaises, avec l'aide du CNC.